Après quelques années de recherche, je vous invite à venir visiter mon site sur Barbara.
Voici l'adresse :
http://www.il-etait-une-fois-barbara.fr
Je vous souhaite une bonne visite !
Samedi 17 octobre 2015 à 22:42
Vendredi 21 janvier 2011 à 8:54
Vendredi 1er octobre 2010 à 17:08
Il avait presque vingt ans
Fallait fallait voir
Sa gueule c'était bouleversant
Fallait voir pour croire
A l'abri du grand soleil
Je l'avais pas vu venir
Ce gosse c'était une merveille
De le voir sourire
Voilà que timidement
Le Jésus me parle
De tout, de rien de sa maman
Tu parles tu parles
J'aime beaucoup les enfants
J'ai l'esprit de famille
Mais j'ai dépassé le temps
De jouer aux billes
Il avait presque vingt ans
Et la peau si douce
J'ai cueilli du bout des dents
La fleur de sa bouche
Et j'ai feuilleté pour lui
Un livre d'images
Qu'était pas du tout écrit
Pour les enfants sages
Tant de jours et tant de nuits
Donne mais je te donne
Lui pour moi et moi pour lui
Et nous pour personne
Mais il fallait bien qu'un jour
Je perde mes charmes
Devant son premier amour
J'ai posé les armes
Elle avait presque vingt ans
Fallait, fallait voir
Sa gueule, c'était bouleversant
Fallait voir pour croire
Ils avaient tous deux vingt ans
Vingt ans, le bel âge...
Mercredi 22 septembre 2010 à 22:34
Vendredi 6 août 2010 à 8:01
Dimanche 18 juillet 2010 à 9:04
Lundi 12 juillet 2010 à 6:54
Le jour où tu viendras le jour où tu viendras
Le jour où tu viendras ne prends pas tes bagages
Que m'importe après tout ce qu'il y aurait dedans
Je te reconnaîtrai à lire ton visage
Il y a tant et tant de temps que je t'attends
Tu me tendras les mains je n'aurai qu'à les prendre
Et consoler les voix qui pleurent dans ta voix
Je t'apprivoiserai les lumières éteintes
Tu n'auras rien à dire je reconnaîtrai bien
Le tout petit garçon le regard solitaire
Qui cachait ses chagrins dans les jardins perdus
Qui ne savait jouer qu'aux billes ou à la guerre
Qui avait tout donné et n'avait rien reçu
Si je venais vers toi je viendrais sans bagages
Que t'importe après tout ce qu'il y aurait dedans
Tu me reconnaîtrais à lire mon visage
Il y a tant et tant de temps que tu m'attends
Je te tendrai les mains tu n'aurais qu'à les prendre
Et consoler les voix qui pleurent dans ma voix
Tu m'apprivoiserais les lumières éteintes
Je n'aurais rien à dire tu reconnaîtrais bien
La toute petite fille aux cheveux en bataille
Qui cachait ses chagrins dans les jardins perdus
Et qui aimait la pluie et le vent et la paille
Et le frais de la nuit et les jeux défendus
Quand viendra ce jour-là sans passé sans bagages
Nous partirons ensemble vers un nouveau printemps
Qui mêlera nos corps nos mains et nos visages
Il y a tant et tant de temps que l'on s'attend
A quoi bon se redire les rêves de l'enfance
A quoi bon se redire les illusions perdues
Quand viendra ce jour-là nous partirons ensemble
A jamais retrouvés à jamais reconnus
Le jour où tu viendras le jour où tu viendras
Il y a tant et tant de temps que je t'attends...
Lundi 5 juillet 2010 à 14:32
Pour ne plus, jamais plus vous parler de la pluie
Plus jamais du ciel lourd jamais des matins gris
Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie
Sous des ciels plus légers pays de paradis
Oh, que j'aurais voulu vous ramener, ce soir
Des mers en furie des musiques barbares
Des chants heureux des rires qui résonnent bizarres
Et vous feraient le bruit d'un heureux tintamarre
Des coquillages blancs et des cailloux salés
Qui roulent sous les vagues mille fois ramenés
Des soleils éclatants des soleils éclatés
Dont le feu brûlerait d'éternels étés
Mais j'ai tout essayé j'ai fait semblant de croire
Et je reviens de loin
Et le soleil est noir
Mais j'ai tout essayé, et vous pouvez me croire
Je reviens fatiguée
Et c'est le désespoir
Légère, si légère j'allais court vêtue
Je faisais mon affaire du premier venu
Et c'était le repos, l'heure de nonchalance
A bouche que veux-tu et j'entrais dans la danse
J'ai appris le banjo sur des airs de guitare
J'ai frissonné du dos j'ai oublié Mozart
Enfin, j'allais pouvoir enfin vous revenir
Avec l'oeil alangui vague de souvenirs
Et j'étais l'ouragan et la rage de vivre
Et j'étais le torrent et la force de vivre
J'ai aimé, j'ai brûlé rattrapé mon retard
Que la vie était belle et folle mon histoire
Mais la terre s'est ouverte là-bas, quelque part
Mais la terre s'est ouverte
Et le soleil est noir
Des hommes sont murés
Tout là-bas quelque part
Des hommes sont murés
Et c'est le désespoir
J'ai conjuré le sort j'ai recherché l'oubli
J'ai refusé la mort j'ai rejeté l'ennui
Et j'ai serré les poings pour m'ordonner de croire
Que la vie était belle fascinant le hasard
Qui me menait ici ailleurs ou autre part
Où la fleur était rouge où le sable était blond
Où le bruit de la mer était une chanson
Oui le bruit de la mer était une chanson
Mais un enfant est mort, là-bas, quelque part
Mais un enfant est mort
Et le soleil est noir
J'entends le glas qui sonne, tout là-bas, quelque part
J'entends le glas sonner
Et c'est le désespoir
Je ne ramène rien je suis écartelée
Je vous reviens ce soir le coeur égratigné
Car, de les regarder de les entendre vivre
Avec eux, j'ai eu mal, avec eux j'étais ivre
Je ne ramène rien je reviens solitaire
Du bout de ce voyage au-delà des frontières
Est-il un coin de terre où rien ne se déchire
Et que faut-il donc faire pouvez-vous me le dire
S'il faut aller plus loin pour effacer vos larmes
Et si je pouvais seule faire taire les armes
Je jure que demain je reprends l'aventure
Pour que cessent à jamais toutes ces déchirures
Je veux bien essayer et je veux bien y croire
Mais je suis fatiguée
Et le soleil est noir
Pardon de vous le dire
Mais je reviens ce soir
Le coeur égratigné
Et c'est le désespoir
Le coeur égratigné
Et c'est le désespoir
Le désespoir
Dimanche 27 juin 2010 à 10:46