La salle est minuscule et, lorsqu'elle entre en scène, liane noire surmontée de ce visage d'oiseau de haute race, elle est si proche qu'elle semble s'adresser à chacun de nous. Mais elle reste une déesse inaccessible, ses yeux sombres traversés de lueurs d'orage pour, l'instant d'après, se voiler d'une dangereuse douceur. Nous vivons là des moments de pure extase, ses trilles nous étourdissent, les mots qu'elle nous chuchote nous bouleversent. Personne mieux qu'elle n'a su dire Le mal de vivre, personne mieux qu'elle, la joie de vivre... cette chanson-phare de toute une génération qui a sans doute évité à nombre d'entre nous de " n'en pas revenir "
Kénizé Mourad Le Jardin de Badalpour.
Le mal de vivre… La joie de vivre, faut savoir équilibrer la balance ! Facile dans les chansons … Difficile dans le quotidien !
Elle savait motiver ses troupes ;)
bisou dominical ;)