Dimanche 21 octobre 2007 à 10:50


Barbara avait réussi, au bout de sa route à réunir quatre générations de spectateurs, touchés au plus profond d'eux-mêmes par une voix, des paroles, et des mélodies servis par une présence magnétique sur scène. Cette diva des âmes était d'une théâtralité folle, n'importe qui d'autre eut été ridicule. Pas elle. 40 ans d'amour exclusif avec un public à la fois populaire et viscéralement attaché à elle. Parmi eux, beaucoup de jeunes, beaucoup de gais. « Ils l'aimaient beaucoup plus fanatiquement que leurs parents. Sans doute pour nier le temps qui avait passé, pour affirmer la permanence de ce qu'elle chante. Barbara parle à l'adolescence — et à ce qui reste en chacun d'adolescent —, ce moment de la vie où l'on berce son "mal de vivre" à coup de chansons tristes, qui soignent "le mal par le mal". »


Le Monde   ( 26/novembre1997 )

Par pilgrim.II le Dimanche 21 octobre 2007 à 12:59
Réussir à réunir un panel de gens plus éclectiques les uns que les autres, je dis chapeau ! où plutôt Abracadabra comme une magicienne ;)

Bisous ma baboulove , passe un bon dimanche ;)
Par kaa le Dimanche 21 octobre 2007 à 19:57
je pense que grace a tioi, elle en réunira une 5ème génération :)
 

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