Le monde a toujours ses douleurs, ses déchirures, ses violences, mais jamais je n'ai senti les gens fragilisés, égarés comme aujourd'hui. Bien sûr, il y a des miracles dans cette déchirure, il y a la poignée d'Arafat et de Rabin, que je ne pensais pas voir de mon vivant. mais le quotidien, autour de nous, est accablant... Devant l'intolérance, devant l'exclusion, devant notre impuissance, c'est vrai qu'il y a des jours où j'ai honte d'exister.
Barbara
A part quelques exceptions vraiment trop rare, hélas , on ne peut qu'essayer de mener sa barque à bon port!
Arf, ma douce Babou que la vie est dure !
Gros bisous de tendresse!