Le couloir
( 1996 )
Le texte est fait de toute la douleur, de toute la fatigue des malades. Ceux du sida, particulièrement. Mais ce pourrait être n'importe quelle autre maladie. Et n'importe quel couloir d'hôpital à l'heure où partent les visiteurs, où s'insinue l'angoisse. Ce singulier silence, ces grincements de chariots... J'ai écrit ce texte il y a déjà quelques temps. Quand Jean-Louis Aubert est venu à Précy, il a voulu composer avec moi le climat autour de ces mots là. Il a le sens de la note essentielle.
Barbara
Bisous Mybabou !